Quel type de super-héros êtes-vous ? Plutôt vengeur masqué, guerrier mutant ou soldat de l’ombre suréquipé ? Grâce à ce test, découvrez votre « super vous-même » et partez sauver le monde ! 

3/10 Des héros de tous les jours…
A Le pompier qui risque sa vie.
B Le bénévole d’association humanitaire qui travaille dans l’anonymat.
C Le médecin de brousse qui pourrait avoir son cabinet en ville.

4/10 Votre super-pouvoir…
A Avoir une force décuplée comme Superman.
B Disparaître à volonté comme l’homme invisible.
C Agir sans vraiment de superpouvoirs comme Batman.

5/10 Parfois, vous êtes désabusé car votre héroïsme vous a poussé à…
A Faire du mal à d’autres.
B Négliger vos proches.
C Ne pas prendre assez soin de vous.

6/10 Votre devise de héros…
A « Par idéal ».
B « Par amour ».
C « Par devoir ».

7/10 La principale qualité du héros (en plus de son courage, évidemment)…
A La confiance
B L’humilité
C La lucidité

8/10 Après avoir aidé quelqu’un, vous ne récoltez qu’ingratitude…
A Vous êtes un peu déçu. Mais vous passez à autre chose de plus motivant.
B Vous êtes attristé et soulagé en même temps. Finalement, c’est aussi bien comme ça.
C Vous n’êtes pas étonné, les gens sont ainsi, ils n’aiment pas devoir.

9/10 Après avoir aidé quelqu’un, vous êtes chaleureusement félicité…
A Vous acceptez et savourez : la reconnaissance des autres est une motivation supplémentaire pour vous.
B Cela vous met mal à l’aise : vous n’avez pas agi pour ça, et vous n’y êtes pas habitué.
C Cela vous dérange un peu : vous n’aimez pas que l’on vous idéalise.

10/10 La mort idéale du super-héros…
A Après avoir vu triompher sa cause.
B Après s’être trouvé un successeur.
C Après avoir gagné un dernier combat, en sachant que ce n’est jamais fini.
 

Majorité de A
Le héros sauveteur « Je ne me pose pas de questions, je fonce »
Votre style : Votre héroïsme n’est pas réfléchi ou calculé, mais ressenti et agi. Il témoigne d’un réel courage, c’est-à-dire d’une conscience du danger et des risques, d’un peu de peur même, mais que l’on décide de dépasser pour avancer. Votre entourage connaît cette dimension de votre personnalité et sait que, au-delà d’un certain seuil d’injustice, vous n’hésiterez pas à « monter au front ». Impossible pour vous d’assister à certaines scènes sans intervenir, même pour défendre des inconnus, même s’il y a des coups à prendre. Vous aimez la vie, le bonheur, le partage ; vous avez confiance dans les bons côtés de l’humain. Alors, vous souhaitez que ces idéaux ne soient pas battus en brèche et que tout le monde puisse en bénéficier. Un conseil ? Soyez héros à temps plein, et pas seulement sur des coups d’éclat ou des impulsions, même courageuses.

Majorité de B
Le héros de l’ombre « Si ça peut aider »
Votre style : Votre héroïsme est discret, silencieux, ne vise pas à être repéré et valorisé, au contraire. Il vous semble qu’il perdrait son essence même s’il devenait un motif de fierté ou une source de reconnaissance. Pour vous, les plus beaux actes peuvent être invisibles et incompris. Votre héroïsme est de nécessité (vous ne voyez pas comment vivre autrement) et d’humilité (c’est votre devoir d’être humain). Un héroïsme de petits pas, de petits gestes. Mais, dans ce monde difficile, tout compte pour soulager les détresses, les solitudes, les blessures, innombrables et elles aussi silencieuses. Le monde est dur, les humains sont fragiles : il faut les aimer, les consoler, leur montrer et leur rappeler inlassablement que la vie peut être belle par moments. Votre idéal héroïque n’est pas de sauver, mais d’aider, de soigner, d’accompagner. Un conseil ? Ayez moins peur de la lumière sur vos actes. Ce n’est pas une honte d’être estimé pour le bien que l’on fait.

Majorité de C
Le héros tragique « Je doute mais j’y vais »
Votre style : Votre héroïsme est tragique, c’est-à-dire humain, tourmenté. Vous avez une pleine conscience de la vanité de certains combats ; mais que faire d’autre qu’y aller quand même ? Conscience aussi de la complexité de certaines situations, de l’opacité de certaines causes ; mais vous ne pouvez pas supporter de ne pas intervenir. C’est dire à quel point votre héroïsme est méritant ! Il nécessite des efforts et un triple combat : celui mené contre la tentation du confort (« Laisse faire, après tout… ») ; celui mené contre la peur du danger (« Ça pourrait t’attirer des ennuis… ») ; et celui mené contre le doute envers l’erreur (« Et si tu te trompais ? ») Vous rêveriez d’un monde doux, cohérent, juste. Mais, quand vous ouvrez les yeux, vous voyez bien que : premièrement, ce n’est pas dans ce monde-là que nous vivons ; deuxièmement, ce n’est pas vers ce monde-là que nous allons. Alors, votre idéal, c’est d’éviter le pire, d’avoir le courage d’agir pour que la société soit au moins vivable. Un conseil ? Tout simplement de ne pas oublier d’être heureux. Que votre lucidité un peu désabusée ne vous empêche pas de cultiver votre propre bonheur !