Jusqu’où êtes-vous prêt à aller pour sauver la planète ?
4 août 2014 - SondageNo Comment   //   2991 Views   //   N°: 55

Tri sélectif, lampes basse consommation, couper l’eau quand on se lave les dents… Parfois ce n’est pas compliqué de se persuader qu’on sauve la planète. Pourtant, selon les experts, il va falloir faire plus, beaucoup plus : oublier l’avion, arrêter la voiture, devenir végétarien… Et vous, êtes-vous prêts à relever les défis de l’écologie ? 

Adieu à la viande ? Sachant que la production d’un kilo de boeuf engendre jusqu’à cent fois plus d’émissions de gaz à effet de serre (l’équivalent de 60 km en voiture) et nécessite 50 fois plus d’eau potable que celle d’un kilo de riz, allez-vous devenir végétarien pour le bien de la planète ? 

Oui, sans problème, j’adore le tofu
Non, mais je suis d’accord pour réduire ma consommation de viande
Non, absolument pas, vive la protéine animale !
Sans opinion

23%
49%
28%
01%

Renoncer à la voiture ? Une voiture classique émet 2,5 tonnes de gaz carbonique (CO2) par an, trente fois plus émettrice de gaz à effet de serre que le train par exemple. Maintenant que vous le savez, êtes-vous prêt à vous passer de voiture ? 

Oui, tout à fait, d’ailleurs je n’en ai pas !
Non, mais je pourrais en avoir une plus petite ou acheter une hybride
Non, je ne pourrais pas me passer de voiture
Sans opinion

32%
20%
46%
02%

Arrêter de prendre l’avion ? En terme d’émission carbone, un avion équivaut à autant de petites voitures qu’il a de sièges passagers. Maintenant que vous le savez, allez-vous cesser de voyager en avion ? 

Oui, tout à fait
Oui, de toute façon c’est au-dessus de mes moyens
Non, mais je pourrais ne le prendre qu’une fois par an ou réduire les distances
Non, absolument pas, que ce soit pour mon travail ou les vacances
Sans opinion

21%
44%
11%
20%
04%

Manger bio et local ? Consommer des produits importés ou cultivés avec engrais chimiques induit une triple dépense énergétique due au transport, à la réfrigération et à l’emballage. Maintenant que vous le savez, êtes-vous prêt à acheter bio et local ? 

Oui, même si je dois pour cela renoncer à certains produits ou augmenter mon budget
Je peux me nourrir bio, mais pas renoncer totalement aux produits importés
Non, je ne changerai pas mon alimentation ni mon budget pour la cause verte
Sans opinion

49%
 
34%
14%
03%

S’habiller vert ? Soie naturelle ou pur coton ? Les fringues écolo et éthiques sont à la mode et ne coûtent pas forcément les yeux de la tête. Maintenant que vous le savez, allez-vous renoncer à vos marques habituelles pour vous mettre au vert ? 

Oui, je déteste porter du nylon et tous ces trucs à base d’hydrocarbures
Ca dépend, entre un vêtement synthétique et naturel, j’irai toujours au plus économique
Jamais de la vie, j’aurais trop peur deressembler à un hippie !
Sans opinion

42%
39%

13%
06%

Consommer moins ? L’industrie (c’est-à-dire les produits manufacturés) et les services sont à l’origine de la moitié des émissions de gaz à effet de serre. Si on consommait moins, on polluerait donc moins. Maintenant que vous le savez, allez-vous acheter deux fois moins ?

Oui, je peux tout à fait me passer de la moitié de ce que je consomme
Deux fois moins me paraît exagéré, mais je pourrais effectivement ralentir ma consommation
Non, je n’ai pas le sentiment de trop consommer
Sans opinion

30%
32%
 
31% 
08% 

Changer de partenaire ? Dilemme : vous êtes foncièrement écolo et votre moitié est un conducteur de 4X4, gros consommateur de viande et absolument hermétique à la problématique du changement climatique. Maintenant que vous le savez, iriez-vous jusqu’à rompre avec lui (elle) pour la bonne cause ?

Oui, j’y ai déjà pensé, car cette différence pèse dans mon couple
Je préfère le (la) convaincre petit à petit de changer, et faire également des concessions de mon côté
Je ne vais certainement pas changer de conjoint (e) pour des idées !
Sans opinion

02% 
44%

43%
12% 

Enquête menée en face à face à domicile sur 400 individus du Grand Tana et représentative des 15 ans et + selon les quotas d’âge et de profession du chef de foyer après stratification géographique, à l’exception des étudiants et des inactifs. Marge d’erreur d’environ 5 %.

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