Andry First : « La nuit, j’allie travail et plaisir ! »
Il est la référence dans toutes les activités liées à l’événementiel à Madagascar. Depuis 15 ans, Andry Rasamoelina, plus connu sous le nom d’Andry First jongle entre les événements culturels, artistiques et les soirées.
Tu es spécialisé dans les événements nocturnes ?
Tout à fait ! Avec First Evenementiel que j’ai créé en 2005 et qui est une branche de ma première agence de communication et de mannequinat First Agency créé en 2001, nous étions les premiers à nous spécialiser dans les effets spéciaux comme les machines à bulles, à neige, mais aussi les jeux de lumières… Cet ensemble n’est mis en valeur que la nuit !
Tu es un vrai noctambule ?
Il le faut ! La nuit, j’allie travail et plaisir ! À cause de mon métier, je regarde un peu ce qui se passe au niveau des soirées. Mais, je m’amuse également ! Ma soirée typique, c’est la tournée des restaurants et des boîtes avec les potes. Par exemple, je vais au Relais Normand à Tsaralalàna, au Carnivore à Ambatonakanga et ensuite, je finis à la Suite 101, toujours à Ambatonakanga, ou au Kudéta à Anosy. Par contre, je ne sors pas tous les jours !
Le prochain rendez-vous ?
Nous lançons la troisième édition de Mada Spring Break prévue pour le mois d’octobre toujours sous le thème le Festival des couleurs. C’est 48 heures de fête non-stop qui rassemble plusieurs deejays internationaux et locaux. L’année dernière, nous avons eu quelques soucis à cause de la pluie. Mais cette année, qu’il y ait de la pluie ou pas, nous ferons toujours la fête. Nous avons prévu de quoi rester au sec pour tout le monde.
Propos recueillis par #AinaZoRaberanto
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édito
Show cacao !
Les meilleurs chocolatiers ne jurent que par lui. Il est un des plus réputés au monde. On parle bien sûr, du cacao de Madagascar, qui encore une fois, est labellisé « cacao fin 100% » en 2023 par l’International Cocoa Organization. Le cacao malgache est le seul à avoir obtenu ce label en Afrique. Un arôme unique, parfois acide, fruité et floral qui séduit le marché international. Mais maintenir cette réputation relève d’un effort considérable qu’il faut pérenniser comme le précise Sylvain Velomora (p.52), secrétaire exécutif du Conseil National du Cacao. Même si la filière se porte bien, elle est face à de nombreux défis notamment environnementaux, à l’amélioration de la production et l’augmentation des revenus des paysans. Des mesures sont mises en place pour répondre à ses problématiques sachant que le cacao fait vivre pas moins de 30 000 agriculteurs contribuant considérablement à l’économie du pays.
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mag no media n01 - avril 2024
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