En ville avec Iako Randrianarivelo
15 septembre 2022 // Downtown // 5275 vues // Nc : 152

Photojournaliste, Iako Randrinarivelo aime voyager, se ressourcer dans la nature. Il nous livre ses bons plans dans la ville et ailleurs.

Votre resto favori ?
Les Hirondelles à Antsakaviro pour leur foie gras, sinon La Plantation à Ankorondrano.

Votre plat préféré ?
Sans hésiter, haricots rouges et viande de zébu.

Votre boisson fétiche ?
Un petit café noir ou une bonne bière, avec modération dans les deux cas !

Vos hobbies ?
Regarder un bon film ou débattre sur un sujet politique ou sociologique avec des amis.

Un endroit pour faire du shopping ?
Je n’aime pas trop faire du shopping, mais j'adore visiter les magasins d'articles d'art comme Paper Store à Akoor Digue.

Un endroit pour s’évader ?
J’aime aller à la campagne retrouver mes cousins paysans.

Les meilleurs plans pour un apéro ou pour terminer la soirée ?
Peu importe l’endroit, l’important est d’être bien entouré !

Les meilleurs plans pour les vacances ?
Faire du snorkeling à Nosy Tanikely. Il y a aussi le circuit Makay que j’aimerais tenté, ce serait top !

L’événement culturel qui vous a marqué ?
Les concerts jazz au Cercle germano-malgache. La musique est un remède à tout.  

Votre actualité ?
J’organise un atelier en photographie documentaire et photojournalisme pendant sept semaines. C’est important de partager ses expériences.


Propos recueillis par Aina Zo Raberanto

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Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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