Le Saint Joseph est un vin rouge provenant de la partie septentrionale de la vallée du Rhône qui se situe au sud de Lyon. Il s’agit d’un vin rouge puissant aux notes épicées produit à partir du cépage Syrah.
Le vignoble de Saint Joseph est l’une des plus grandes régions viticoles de la vallée du Rhône septentrionale. Son climat tempéré aux influences méditerranéennes ainsi qu’une exposition Sud de ses coteaux offrent à SaintJoseph les conditions idéales pour la production de la Syrah. Son vignoble s’étend sur près de 60 kilomètres le long de la rive droite du Rhône. Cette appellation surtout connue pour ces vins rouges, produit également des vins blancs de très belle qualité. Les vins blancs quant à eux sont produits à partir des cépages Roussane et Marsanne.
Le Saint Joseph Maison Castel est issu du millésime 2016. Il a une robe d’un violacé intense. Au nez, les arômes de fruits rouges et de violette sont très présents et mêlés à des notes d’épices. En bouche, le vin est d’une belle structure aux tanins fins se terminant sur des notes d’épices. Ce vin puissant mais d’un bel équilibre s’accordera parfaitement avec des viandes rouges braisées, des champignons tels que pleurotes et cèpes. Il est aussi possible de l’accorder avec un fromage onctueux comme le Brillat Savarin. On pourrait enfin réaliser untrès bel accord en le servant avec une assiette de ris de veau aux morilles.
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Loïc Moisan
La marque espagnole MartiDerm débarque officiellement à Madagascar ce samedi 6 décembre, avec un lancement organisé au Novotel Alarobia par son distri...
Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.
November Numérique
November Numérique à l'IFM
