En ville avec Anjara Rasoanaivo
11 octobre 2022 // Downtown // 4676 vues // Nc : 153

Journaliste culturelle, fondatrice de BeyondMada, spécialisée dans la production de films et séries TV, Anjara Rasoanaivo aime découvrir et redécouvrir Tana. Elle nous livre ses bons plans dans la capitale et ailleurs.

Votre resto favori ?
J’aime bien les soupes de chez Perle Ampandrana, ainsi que leurs spécialités chinoises. C’est vrai que ce n’est pas un resto, mais j’adore aussi les mofo gasy, ramanonaka et mofo baolina de la gargote bleue d’Analamahitsy.

Votre plat préféré ?
L’échine de porc laquée au miel et gingembre, une tuerie !

Votre boisson fétiche ?
Le soda.

Vos hobbies ?
J’aime bien chanter ; avec ma meilleure amie, on a enregistré pas mal de titres. J’aime aussi aller au resto et entretenir ma voiture.

Un endroit pour shopper ?
Je ne suis pas très shopping, mais pour les fringues il y a une boutique qui propose, entre autres, des vêtements de seconde main et de grande taille, c’est là que je fais mes achats.

Les meilleurs plans pour un apéro ou pour terminer la soirée ?
Depuis quelques temps, je ne sors pas beaucoup. Mais pour un apéro, j’aime bien La Teinturerie à Ampasanimalo, on y trouve des cocktails de toutes sortes. Et puis l’endroit est très inspirant, il y a de la vibe !

Un endroit pour s’évader ?
Conduire m’évade. Quand je veux faire le vide je prends le volant et je roule Peu importe où, enfin pas dans les embouteillages et sur les mauvaises routes tout de même !

Les meilleurs plans pour les vacances ?
Nosy Be est une île que j’affectionne particulièrement. À part le soleil et la plage, on y mange bien et les gens ont ce petit quelque chose de simple, d’accueillant et de souriant. Également Nosy Boraha (Sainte-Marie) où tout est apaisant. La déconnexion totale !

L’événement culturel qui vous a marqué ?
Le Festival international des arts contemporains (MIAF) qui s’est déroulé à Maurice en 2019. Certainement parce que c’était la première participation d’envergure de ma fille. Et surtout parce que c’était un bel échange d’artistes issus de pays et d’expressions différentes.

Votre actualité ?
Je suis une des membres du jury du concours d’écriture de nouvelles pour le projet Diary Nofy de l’ONG Teach For Madagascar. C’est ouvert à tous les Malgaches d’ici ou d’ailleurs. Les détails sont sur leur page Facebook.


Propos recueillis par Aina Zo Raberanto

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Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

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