Loazis : Pause détente dans une oasis de bien-être
26 juin 2023 // Beauté & Bien être // 3302 vues // Nc : 161

Au cœur du quartier d’Ivato, sur la rue du Paon d’Or, Erica Haingomalalatiana et Philippe Dardennes réservent un espace calme et discret pour un moment de détente et bien-être. Dina, salariée, s’est calé une demi-journée pour un soin complet - corps, visage, mains et pieds. Cette pause de quatre heures vaut son détour pour le calme et la fraîcheur qu’elle promet.

Du corps au visage
Détendre le corps, c’est le premier défi de l’équipe de Loazis. Pour se débarrasser de toutes les petites et grandes courbatures, un massage relaxant est l’idéal. La masseuse presse le long de la colonne vertébrale, puis les épaules.

Toute la manœuvre est la base des soins qui vont suivre : le corps, la peau et l’esprit se détendent, et la suite de la séance est bien préparée.

Le salon a ses produits fétiches pour revigorer : Le Club des Professionnels Paris, des crèmes et un gel pour ramener la force du corps et la lumière du visage.

Soin du visage
Pour le visage, Erica et Philippe ont misé sur des soins de qualité. Détendue, Dina est fin prête pour le soin du visage : l’esthéticienne lui passe une serviette à la tête et commence par démaquiller les yeux et le reste du visage. Le soin choisi par Dina, sur les conseils de son esthéticienne, fait un focus sur ses petites imperfections. Un gommage, et le visage passe sous les vapeurs d’eau pendant plusieurs minutes pour en adoucir la peau, ouvrir les pores et en extraire les points noirs. Après passage du tire-comédon – outil pour retirer les points noirs – et un massage, le visage de Dina passe sous haute fréquence et par des ventouses pour fermer les pores. Cette technique à la pointe de la technologie est promise aux mains de spécialistes qui vont redonner du tonus à la peau avec du sérum, un masque final, et une crème de jour. Dina récupère une peau éclatante et sans imperfections, en plus d’un moment détaché du stress.

Jusqu’au bout des ongles
Pour la suite, Dina se fait une séance de pédicure de plus d’une heure. L’esthéticienne désinfecte les ongles avant de nettoyer les bords libres, pousse les cuticules et retire son vernis rouge avec du dissolvant. Dans son bain, les pieds passent par des soins uniques : un gommage, puis un ponçage pour adoucir et enlever les peaux mortes. La pédicure de Dina se termine par un massage, signature personnelle des lieux, pour détendre sans forcément ajouter un vernis. Erica confie que ces étapes se font aussi pour les hommes, et le bien-être y est garanti. La manucure reprend les mêmes étapes – la désinfection des ongles, un petit passage à la lime et un bon brossage. Le polissage et le masque sont la clé pour débarrasser les mains des cellules mortes. La peau douce, Dina se fait un dernier caprice en se choisissant un vernis rouge vif. Le centre propose des produits naturels et parfaits pour la peau, et notre modèle en sort détendue de la tête aux pieds. En un passage, Loazis promet une pause complète qui défie nos rêves d’évasion.

Propos recueillis par  Rova Andriantsileferintsoa

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Il fut un temps — pas si lointain — où le cinéma malgache était timide, réduit à quelques projections confidentielles et à des moyens de fortune. Depuis un certain temps – ironie du sort ou simple justice poétique – ce sont nos films qui s’invitent sur les écrans du monde et des festivals sur les cinq continents. Felana Rajaonarivelo, Kuro Mi qui ont été récemment primés dans des festivals internationaux. Avec cette nouvelle génération de cinéaste, Madagascar rafle les prix et, surtout, les regards.
Il fut une époque où parler de « cinéma malgache » provoquait un sourire poli, celui qu’on réserve aux rêves un peu fous. D’autres se moquaient ouvertement de ces productions de niveau abécédaire. Désormais, ces points de vue moqueurs s’effacent pour laisser place à l’admiration. Les images sont plus nettes, les scénarios plus affûtés, les voix plus assurées. On sent cette montée en gamme, cette fierté tranquille d’un art qui prend enfin confiance en lui. Et c’est beau à voir — comme une pellicule qu’on aurait enfin sortie du grenier pour la projeter au grand jour.
Certes, des défis restent à relever, notamment en matière d’infrastructures, de financements, de formation… mais le vent tourne. Et ce vent-là sent la créativité, la sueur, et un peu de ce grain de folie propre à nos conteurs. La Grande-île ne veut plus être simple figurant dans l’histoire du septième art. Madagascar s’installe, doucement mais sûrement, dans le rôle principal. Au fond, ce renouveau n’est pas qu’un phénomène culturel. C’est une déclaration : ici aussi, on sait raconter. Et mieux encore, le faire rêver.

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