Cette année, L’Art Blanc invite l’Italie dans les fêtes de fin d’année. La boulangerie enrichit sa carte d’une nouveauté qui évoque l’esprit de Noël italien : le panettone. Cette douceur emblématique, symbole de convivialité, est maintenant disponible à Madagascar, prête à séduire les amateurs de traditions gourmandes. Retour sur une viennoiserie d’exception et les secrets d’un savoir-faire ancestral.
L’Art Blanc fait souffler un vent d’Italie sur les fêtes de fin d’année avec l’arrivée du panettone, le gâteau emblématique de Noël, doré et moelleux à souhait. Ce dessert en forme de dôme, généreusement garni de fruits confits et de raisins, se déguste en tranches fines ou épaisses, fondant en bouche et dégageant des arômes délicats de vanille et de beurre. Disponible dès maintenant dans leur boutique et dans les magasins Carrefour, le panettone de L’Art Blanc promet d’apporter une touche italienne aux tables malgaches, ajoutant une note de raffinement et de tradition à l’ambiance festive.
L’introduction de cette pâtisserie traditionnelle est le fruit du parcours de cheffe Nina, la fondatrice de L’Art Blanc, formée auprès du chef romain Matteo Ferroni, maître dans l’art de la cuisine italienne. Depuis sa création en 2003, la boulangerie incarne l’excellence artisanale et le savoir-faire à l’italienne, où chaque viennoiserie, chaque pain est façonné sur place avec passion. Avec cette nouvelle spécialité, L’Art Blanc élève son engagement en proposant une expérience gourmande authentique, inspirée des grandes traditions italiennes. Le panettone s’inscrit ainsi comme une étape marquante dans l’histoire de cette boulangerie, qui a su captiver ses clients par la qualité et l’originalité de ses créations.
Plus qu’une simple douceur, le panettone est aussi un véritable rituel de partage. En Italie, il s’accompagne de vins doux comme le Moscato ou l’Asti Spumante, ou se déguste avec une crème de mascarpone pour encore plus de gourmandise. À Milan, il est de coutume de conserver une tranche de panettone jusqu’au 3 février, jour de la Saint-Blaise, pour éloigner les maux d’hiver. Chez L’Art Blanc, ce dessert devient le symbole d’une fin d’année sous le signe de la générosité et de la convivialité, un moment de réconfort et de bonheur à savourer en famille ou entre amis.
Mpihary Razafindrabezandrina
©Photos : L’Art Blanc
Téléphone : 0343042220
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Il fut un temps — pas si lointain — où le cinéma malgache était timide, réduit à quelques projections confidentielles et à des moyens de fortune. Depuis un certain temps – ironie du sort ou simple justice poétique – ce sont nos films qui s’invitent sur les écrans du monde et des festivals sur les cinq continents. Felana Rajaonarivelo, Kuro Mi qui ont été récemment primés dans des festivals internationaux. Avec cette nouvelle génération de cinéaste, Madagascar rafle les prix et, surtout, les regards.
Il fut une époque où parler de « cinéma malgache » provoquait un sourire poli, celui qu’on réserve aux rêves un peu fous. D’autres se moquaient ouvertement de ces productions de niveau abécédaire. Désormais, ces points de vue moqueurs s’effacent pour laisser place à l’admiration. Les images sont plus nettes, les scénarios plus affûtés, les voix plus assurées. On sent cette montée en gamme, cette fierté tranquille d’un art qui prend enfin confiance en lui. Et c’est beau à voir — comme une pellicule qu’on aurait enfin sortie du grenier pour la projeter au grand jour.
Certes, des défis restent à relever, notamment en matière d’infrastructures, de financements, de formation… mais le vent tourne. Et ce vent-là sent la créativité, la sueur, et un peu de ce grain de folie propre à nos conteurs. La Grande-île ne veut plus être simple figurant dans l’histoire du septième art. Madagascar s’installe, doucement mais sûrement, dans le rôle principal. Au fond, ce renouveau n’est pas qu’un phénomène culturel. C’est une déclaration : ici aussi, on sait raconter. Et mieux encore, le faire rêver.
Randonnée du CASM
Randonnée du Club des Amateurs de Scooters de Madagascar - CASM - à Behenjy, le 17 octobre.
