Miora Ralaimanisa répond au questionnaire Pivot
1 octobre 2020 // Arts Plastiques // 5535 vues // Nc : 129

L’illustratrice Miora Ralaimanisa répond du tac au tac au questionnaire Bernard Pivot. Dix questions pour aller au fond des choses… pas plus !

Votre mot préféré ? 
Carpe Diem, toujours profiter du moment présent.

Le mot que vous détestez ?
Impossible. Tout simplement parce que rien n’est impossible. 

Votre drogue favorite ?
Le chocolat ! Une addiction sous toutes les formes, à tout heure... Y a-t-il des groupes de parole pour ça ? 

Le son, le bruit que vous aimez ?
Les vagues qui claquent sur le sable.

Le son, le bruit que vous détestez ?
Ces jouets qui font du bruit en boucle pendant la sieste. 

Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
Merde !  Finalement on devrait le retirer de la catégorie gros mot, c’est tellement … naturel !

Homme ou femme pour illustrer un nouveau billet de banque ?
Michelle Obama.

Le métier que vous n'auriez pas aimé faire ?
Comptable.

La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel vous aimeriez être réincarnée ?
Un trèfle à quatre feuilles avec tout ce qu’il symbolise : l’espoir, la foi, l’amour et la chance.

Si Dieu existe, qu'aimeriez-vous, après votre mort, l'entendre vous dire ?
Bienvenue, tu as bien profité, tu en profiteras encore plus ici et tu pourras manger autant de chocolat, sans grossir !

Propos recueillis par Aina Zo Raberanto

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Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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