Quelques pas vous éloignent du brouhaha de la ville. Le spa du Louvre Hôtel & Spa à Antaninarenina est un havre de paix et de détente, où l’on accueille, sept jours sur sept, les désireux de repos le temps d’un moment. Marie Laure Chabrerie y est depuis 14 ans, dès son ouverture, et son dévouement pour le métier devient le plus bel atout de l’endroit. Une prise en mains unique sous une ambiance signée « sérénité », c’est ce qui fait des Bains du Louvre un endroit incontournable de la ville.
À peine avions-nous franchi le seuil du spa que la chaleur s’y est sentie. La piscine, chauffée à 30 degrés en cette période d’été, est la première chose que l’on voit. Une ambiance rehaussée par l’accueil, chaleur, senteur et le sourire.
Le Bain du Louvre propose à ses clients(es) un chaleureux espace de bien être au centre de la capital (piscine chauffée, hammam, sauna, jacuzzi et une salle de fitness) ainsi que des différents soins corps et visage adaptés aux besoins de chacun(e). Parce que bien-être rime avec naturel, tous los soins sont pratiqués par des produits naturels. Le Bain du Louvre est aussi une continuelle rénovation, la responsable varie les offres du moment pour faire découvrir et rêver à tout moment.
Des découvertes à ne pas manquer comme le Kobido massage du visage de 45 minutes. C’est un massage issu d’une technique japonaise reconnue et qui reprend sa place au niveau esthétique à nos jours. Un Pack Gourmand à raison de trois heures d’espace détente plus l’incontournable avec en plus, une salade ou un club sandwich en déjeuner. Et l’aqua zumba, l’aquabike, les cours de natation avec un coach international.
Rova Andriantsileferintsoa
Les chiffres sont en hausse. La 11ᵉ édition de l'International Tourism Fair of Madagascar (ITM), le rendez-vous annuel des acteurs du secteur du touri...
Juin célèbre la langue malgache. Une langue douce, chantante , subtile — que l’on admire, que l’on dit aimer, mais que l’on néglige au quotidien. Mais à sa place, on a un sabir moderne, un étrange cocktail de malgache, de français et d’anglais. Et les jeunes ? Ils jonglent, sans vraiment maîtriser aucune des trois. Alors on s’indigne, on accuse l’école, les réseaux sociaux, l’époque.
Mais ça tape à côté. Les langues sont vivantes, elles mutent, s’adaptent, empruntent. Vouloir figer la langue malgache dans le marbre, c’est oublier qu’elle-même s’est forgée dans les métissages. Au lieu de condamner l’évolution, peut-être faudrait-il l’accompagner avec lucidité. Éduquer sans mépriser. Valoriser sans enfermer. Et surtout, cesser de pleurer une langue qu’on refuse d’habiter pleinement.
Association Mamelomaso - Alahamadibe
L’Association Mamelomaso a célébré, du samedi 29 mars au lundi 31 mars dernier, l'Alahamadibe, le Nouvel An des Malagasy, à Ankazomalaza - Ambohimanga Rova
