En ville avec Sckratty
4 janvier 2020 // Downtown // 5367 vues // Nc : 120

En novembre dernier, Sckratty, danseur et leader du groupe Untold Crew, s’est produit sur la scène de l’IFM dans le cadre du programme Lapihazo. Entre deux sessions de krump et de Hip-Hop, le danseur a pris du temps pour nous livrer ses bons plans sorties.

Ton plat favori ?
J’adore les rondelles de saucisse fumée accompagnées de haricot et de riz.

Ton resto préféré ?
Je ne sors pas souvent. Je ne m’y connais pas trop en resto. Il n’y a pas d’endroits où je préfère aller. Pour moi, il n’y a rien de mieux que les bons petits plats faits maison.

Ta boisson favorite ?
Avec la chaleur qu’il fait actuellement, je dirais une bonne bière bien fraîche, accompagné de grillades de poulet et de frites.

Un endroit pour se détendre après le boulot ?
Pour me détendre, je préfère les endroits « chill » où il y a de la bonne musique, c’est-à-dire chez moi (rires). C’est mon petit havre de paix. J’aime les ambiances cosy.

Un endroit pour faire du shopping ?
Je n’aime pas trop le shopping (rires). Mais j’ai quand même mes petites habitudes dans les friperies d’Ambodin’Isotry et Mahamasina. On y trouve de belles pièces pour presque rien.

Ton loisir le plus constant ?
Pour moi, il n’y a que la danse. Le krump et le hip-hop. La plupart du temps je m’entraîne avec mon crew.  C’est ce qui m’aide à décompresser.

Un endroit pour finir la soirée ?
Je sors rarement en soirée, sauf pour faire des animations de danse. Sinon, je vais au Kudéta à Anosy pour danser avec des amis, après j’enchaîne avec une soirée tranquille à la maison

Un lieu pour s’évader le week-end ?
Je passe les week-ends chez moi en famille la plupart du temps.

Tes meilleurs plans pour les vacances ?
Je dirais Mahajanga, Toliary et Nosy Be. Ce sont des endroits magnifiques où les gens sont accueillants et où il y a pas mal d’activités. En visitant ces lieux, on découvre une facette différente de l’île.

L’événement culturel qui t’a le plus marqué ?
Le Festival Ambony Ambany qui a eu lieu en février dernier. C’est un événement cher à mon cœur car j’ai remporté le premier prix dans la catégorie « Expérimental ». Il y a aussi le programme Lapihazo qui m’a permis de monter sur scène en novembre dernier avec ma création de danse expérimentale, intitulée Addiction.

Ton actualité ?
En ce moment, je me concentre uniquement sur la danse. Je suis en train de créer mon propre style qui est un mix de différentes disciplines. Je travaille aussi sur un nouveau concept de vidéos dédiées à la danse. Stay Tuned !

Propos recueillis par Miora Randriamboavonjy

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Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

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