Mada 67, journal (2009-2013)

Pascal Grimaud, Livres sur Madagascar, 19 mai 2015

Madagascar. Un chien mort. Un homme qui dort. Ou l’inverse. Les photos de Pascal Grimaud laissent peu de place à l’approximation, encore moins à l’exagération. Elles ne sont pas là pour plaire. Elles disent, et c’est tout. Elles sont à peine malgaches, elles ne le sont même plus du tout quand l’œil se resserre sur la « chose vue » – chose prise dans sa portée la plus universelle – pour en chasser l’anecdote, le décor « hors sujet », tout ce qui trahirait une intention de couleur locale.

Pascal Grimaud, né en 1969, vit et travaille à Marseille. Il se consacre à des projets au long cours au sein de la maison de photographes Signatures qu’il rejoint en 2010. Il ne cesse de s’interroger sur les relations de l’homme et des territoires, à travers un projet sur son environnement proche, le village d’Eygalières, et un nouveau travail sur l’île malgache.

Format : 21,5 x 21,5 cm, photographies en couleur, 64 pages – couverture cartonnée

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no comment - Cinéma : Madagascar entre dans l'histoire

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9 décembre 2025

Cinéma : Madagascar entre dans l'histoire

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Edito
no comment - Shows devant !

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Shows devant !

Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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Making of shooting mode – Novembre 2025 – NC 190

Retrouvez le making of shooting mode du 𝗻𝗼 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁® magazine, édition novembre 2025 - NC 190
Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

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