Un, deux, carotte, navet... - Annick de Comarmond

Annick de ComarmondÀ paraîtreHumourLivres sur Madagascar, 28 avril 2017

« Un, deux, carotte, navet…  », scandaient il n’y a pas si longtemps les enfants malgaches. Cette association improbable de l’exercice militaire avec ces deux légumes est à l’image des anecdotes contées dans ce recueil. Elles sont amusantes et légères, mais exploitent le choc de deux cultures, de deux peuples – les vazaha et les Malgaches –, pour y parvenir.

Française, née au Maroc, Annick de Comarmond est professeure d’histoire au lycée français de Tananarive. Elle vit à Madagascar depuis plus de trente ans. Loin sous les ravenales, son premier roman, a reçu le grand prix Géo 2010 du voyage extraordinaire.

Livre sur Madagascar. Format : 10,5 x 18 cm, 116 pages

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Shows devant !

Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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