Mirary, alias Mirart, se démarque en interprétant avec talent les chansons de dessins animés et de films en version malgache. Son répertoire inclut non seulement les incontournables de Disney mais également d'autres œuvres cinématographiques. En tant qu'artiste polyvalente et monteuse vidéo, elle partage ses créations musicales sur sa page Facebook, et nous dévoile ses bons plans en ville !
Votre resto favori ?
Riarano hôtel à Ampefy. J'apprécie la cuisine qu'ils proposent et leur accueil est également des plus chaleureux.
Votre plat préféré ?
Toutes sortes de graines sèches, accompagnées de saucisses.
Une boisson fétiche ?
Le visy gasy! J'aime sa façon à la fois pétillant et peu sucré. C'est parfait pour moi.
Votre passe-temps favori ?
Je dirais le chant, ainsi que la réalisation de films, comme des courts métrages avec mes cousines.
Où faire du shopping ?
Je privilégie souvent les friperies, sinon je vais à l' Avance Center.
Un endroit pour s'évader ?
Ampefy, sans hésitation. Ce lieu n'est pas très éloigné, et le trajet n'est pas chronophage.
De plus, il offre une multitude d'activités.
Les bons plans vacances ?
Nosy-Be! Non seulement c'est un endroit paradisiaque, mais j'apprécie également le niveau de sécurité qui y règne.
Votre actualité ?
Cette année, je prévois de me produire sur scène, comme nous l'avons déjà fait l'année dernière avec le thème We sing Disney.
Il y aura également des améliorations sur mes vidéos et des surprises réservées à mes followers sur Facebook.
Propos recueillis par Cédric Ramandiamanana
Page Facebook : Mirart
Les chiffres sont en hausse. La 11ᵉ édition de l'International Tourism Fair of Madagascar (ITM), le rendez-vous annuel des acteurs du secteur du touri...
Juin célèbre la langue malgache. Une langue douce, chantante , subtile — que l’on admire, que l’on dit aimer, mais que l’on néglige au quotidien. Mais à sa place, on a un sabir moderne, un étrange cocktail de malgache, de français et d’anglais. Et les jeunes ? Ils jonglent, sans vraiment maîtriser aucune des trois. Alors on s’indigne, on accuse l’école, les réseaux sociaux, l’époque.
Mais ça tape à côté. Les langues sont vivantes, elles mutent, s’adaptent, empruntent. Vouloir figer la langue malgache dans le marbre, c’est oublier qu’elle-même s’est forgée dans les métissages. Au lieu de condamner l’évolution, peut-être faudrait-il l’accompagner avec lucidité. Éduquer sans mépriser. Valoriser sans enfermer. Et surtout, cesser de pleurer une langue qu’on refuse d’habiter pleinement.
Association Mamelomaso - Alahamadibe
L’Association Mamelomaso a célébré, du samedi 29 mars au lundi 31 mars dernier, l'Alahamadibe, le Nouvel An des Malagasy, à Ankazomalaza - Ambohimanga Rova
