En ville avec Dee Andriambelo
10 mai 2021 // Downtown // 2996 vues // Nc : 136

La musique, c’est sa passion. Mais, la jeune artiste, originaire d’Antsirabe, apprécie aussi les balades dans sa ville. Elle nous livre ses bons plans de la Ville d’Eau.

Votre resto favori ?
Sans hésiter, Conterno avec ses plats frais, sains et surtout abordables !

Votre plat préféré ?
Je crois que je suis fan de toutes les nourritures existantes ! Mais si je devais choisir, ce serait les poissons bien frits et tout plat à base de pommes de terre. Je ne viens pas d’Antsirabe pour rien  (rires) !

Votre boisson fétiche ?
Le milkshake. Petite, ma grand-mère nous en préparait un délicieux à la banane. C’est la première fois que je goûtais à cette merveille et depuis, c’est ma boisson fétiche ! Encore plus maintenant que j’ai découvert d’autres saveurs !

Vos hobbies ?
La musique et le chant. Je crois que depuis toujours, je ne peux pas m’en empêcher ! Sinon, le vélo.

Très sportive de base, j’ai développé depuis deux ans une passion intense pour le cyclisme. J’adore pédaler, je pourrais rester des heures sur mon vélo à parcourir des kilomètres et des kilomètres sans jamais en avoir assez. Petit bonus : chaque randonnée est une belle aventure !

Un endroit pour faire du shopping ?
J’ai de la chance d’avoir une grande sœur plus ou moins gentille et plutôt stylée… Elle change régulièrement de garde-robe et me fait profiter de ses fringues, ce qui m’épargne le shopping. Sinon, Vous l’avez compris, je ne suis pas très fan de cette activité, sauf quand il s’agit de mes chaussures.

Les meilleurs plans pour un apéro ou pour terminer la soirée ?
Pour un apéro, je dirai chez B’art Haingo : une belle ambiance, bonne musique et boissons aux choix. Pour terminer la soirée, quoi de mieux que de sortir dans les rues de la ville pour prendre l’air et contempler sa beauté avec mon compagnon ? 

Un endroit pour s’évader ?
Je m’évade toutes les fois où je pars en randonnée, peu importe l’endroit. Pour moi, c’est toujours une évasion ! 

Les meilleurs plans pour les vacances ?
Je n’en ai jamais prises, mais je suis certaine que passer quelques semaines dans le sud de Madagascar doit être le meilleur plan du monde.

L’événement culturel qui vous a marqué ?
Sans aucun doute, le Festival d’art urbain (FAU) en mars dernier à Tana. J’ai assisté à sa clôture et pour une fois je me suis sentie normale autour de toutes ces personnes différentes, tatouées, avec des piercings et surtout pleines de créativité que l’on appelle artistes ! J’ai adoré, vivement le prochain !

Votre actualité ?
J’ai toujours souhaité percer dans le monde de la musique. Depuis quelques temps je me suis mise à écrire des textes que je compte mettre en bonne musique. Le but est de créer mon petit album EP avec quelques collaborations. Ce sera mon premier et il sera tout en mon honneur : le « Moi » et ma vision du monde ! Si tout se passe bien, j’espère le sortir cette année.


Propos recueillis par Aina Zo Raberanto

Laisser un commentaire
no comment
no comment - FIM 2025 : États généraux de l'économie malgache

Lire

26 mai 2025

FIM 2025 : États généraux de l'économie malgache

« Une 19ᵉ édition satisfaisante », s'exultent les organisateurs de la Foire Internationale de Madagascar, alors que le rideau tombe sur cette édition,...

Edito
no comment - Sans langue de bois

Lire le magazine

Sans langue de bois

Juin célèbre la langue malgache. Une langue douce, chantante , subtile — que l’on admire, que l’on dit aimer, mais que l’on néglige au quotidien. Mais à sa place, on a un sabir moderne, un étrange cocktail de malgache, de français et d’anglais. Et les jeunes ? Ils jonglent, sans vraiment maîtriser aucune des trois. Alors on s’indigne, on accuse l’école, les réseaux sociaux, l’époque.
Mais ça tape à côté. Les langues sont vivantes, elles mutent, s’adaptent, empruntent. Vouloir figer la langue malgache dans le marbre, c’est oublier qu’elle-même s’est forgée dans les métissages. Au lieu de condamner l’évolution, peut-être faudrait-il l’accompagner avec lucidité. Éduquer sans mépriser. Valoriser sans enfermer. Et surtout, cesser de pleurer une langue qu’on refuse d’habiter pleinement.

No comment Tv

Interview – Rakotondrahaja Harilala Elia Tolojanahary - MAI 2025 - NC 184

Découvrez Rakotondrahaja Harilala Elia Tolojanahary , photographe spécialisé dans le nu artistique, dans la rubrique LOISIR du 𝐧𝐨 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭® Magazine, numéro de mai 2025 - NC 184. Photographe spécialisé dans le nu artistique, Rakotondrahaja Harilala Elia Tolojanahary est un passionné qui raconte des histoires à travers chaque cliché. Son objectif : casser les clichés sur ce genre qu’il qualifie de « liberté », encore trop mal perçu à Madagascar. 

Focus

Association Mamelomaso - Alahamadibe

L’Association Mamelomaso a célébré, du samedi 29 mars au lundi 31 mars dernier, l'Alahamadibe, le Nouvel An des Malagasy, à Ankazomalaza - Ambohimanga Rova

no comment - Association Mamelomaso - Alahamadibe

Voir