Via Milano
Pochette marron Lavinial : 425 000Ar
Escarpinsléopard Tiffi : 575 000 Ar
Sac bordeaux Lavinial : 675 000 Ar
Escarpins bordeaux Tiffi : 675 000 Ar
Via Milano
Pochette vernis rose Lavinial : 425 000 Ar
Talons carré noir et blanc Galieti : 300 000 Ar
Sandales à talons aiguilles Osvaldo Rossi : 800 000 Ar
Haya Madagascar
Porte-ordinateur type enveloppe en cuir de veau local : 3 000 000 Ar
Tanossi
Tee-shirt manches courtes : 45 000 Ar
Tee-shirt enfant manches longues : 54 000 Ar
Tee-shirt manches courtes : 49 000 Ar
Via Milano
Sandales à talons daim avec perles Tiffi : 600 000 Ar
Bottes Del Gato : 400 000 Ar
Tanossi
Tee-shirt manches courtes à poche : 54 000 Ar
Tee-shirt enfant manches courtes : 39 000 Ar
Robe : 59 000 Ar
Haya Madagascar
Porte-câble en cuir croco local, tanné et teinté au naturel : 305 000 Ar
Pince à billets en cuir croco local, tanné et teinté au naturel : 190 000 Ar
Pince à billets en cuir de veau local : 100 000 Ar
Via Milano
Pochette noire Lavinial : 425 000 Ar
Escarpins Tiffi vernis noir : 575 000 Ar
Tanossi
Robe : 59 000 Ar
Robe enfant : 45 000 Ar
Polo : 79 000 Ar
Gifi
Fond de teint fluide n°4 Glam’up : 40 000 Ar
Gloss Glam’up : 20 000 Ar
Via Milano
Pochette marron Lavinial : 425 000 Ar
Sac bordeaux Lavinial : 675 000 Ar
Via Milano
Escarpins daim avec perles Osvaldo Rossi : 800 000 Ar
Haya Madgascar
Porte-document à rabat extérieur en cuir de veau local : 240 000 Ar
Haya Madagascar
Porte-document à rabat extérieur en cuir de veau local : 240 000 Ar
Porte-ordinateur type enveloppe en cuir de veau local : 3 000 000 Ar
Via Milano
Sandales à talons daim avec perles Tiffi : 600 000 Ar
Sandales à talons carré nero Giardini : 350 000 Ar
Gifi
Palette ombre à paupières Glam’up : 40 000Ar
Laque à lèvres Glam’up : 22 500 Ar
Crayon à lèvres Glam’up : 11 500 Ar
Mascara Hypnotic Glam’up : 20 000 Ar
Base lissante pores et ridules Glam’up : 35 000 Ar
Remerciements
Nathalie, Patricia, Santien, Mampionona, Mitia
Make up
Réalisé par Samchia avec les produits Glam’Up distribués par GIFI
Prise de vue
bouddha Bar Isoraka, Antananarivo
Photos
Andriamparany Ranaivozanany
Point de vente Haya Madagascar
Grand Hôtel Urban Ambatonakanga (Antananarivo)
Hôtel Colbert Antaninarenina (Antananarivo)
Nova Hôtel Talatamaty (Antananarivo)
Hakanto Shop, Gallery alhambra (Antananarivo)
Nulle Part Ailleurs (Toamasina)
Disco Afrika, réalisé par Luck Razanajaona, devient le premier film malgache soumis aux 98ᵉ Oscars dans la catégorie Meilleur film international, aprè...
Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.
November Numérique
November Numérique à l'IFM
