La marque BIC© représentée par la SOMADIS son distributeur à Madagascar a organisé à la Cité des Cultures à Antaninarenina, le jeudi 31 octobre, la cérémonie de remise de prix du concours international de dessin dénommé BIC ART MASTER pour les participants locaux. En effet, partie de l'initiative des dirigeants de BIC de la zone Afrique Subsaharienne et du Moyen Orient, la première édition de BIC ART MASTER Africa a été lancée en 2017, il s'agit d'un concours pour les pays d'Afrique qui regroupent une cinquantaine de pays. L'esprit du concours est de révéler des talents par leur créativité, leur technique afin de leur offrir des visibilités à l'échelle internationale, de sublimer l'art notamment celui du dessin sur stylo à bille, mais surtout de les récompenser pour leur travail.
Cette année, le thème est UNBUTU 'ENSEMBLE' : par définition Ubuntu 'Ensemble' est une philosophie africaine mettant l'accent sur les liens communautaires et l'harmonie collective. Ce concept encourage les individus à se percevoir comme des membres interconnectés d'une communauté plus vaste et à agir de manière à promouvoir l'harmonie collective.
RANDRIANOTAHIANA Volaharisoa a reçu un prix spécial nommé : PRIX DU GAGNANT NATIONAL. Ce prix prestigieux est octroyé à une poignée d'artistes qui se sont distingués par l'originalité et la qualité de leur œuvre. Un chèque de 500 $ et un trophée lui ont été donc remis au cours de la cérémonie.
Les chiffres sont en hausse. La 11ᵉ édition de l'International Tourism Fair of Madagascar (ITM), le rendez-vous annuel des acteurs du secteur du touri...
Juin célèbre la langue malgache. Une langue douce, chantante , subtile — que l’on admire, que l’on dit aimer, mais que l’on néglige au quotidien. Mais à sa place, on a un sabir moderne, un étrange cocktail de malgache, de français et d’anglais. Et les jeunes ? Ils jonglent, sans vraiment maîtriser aucune des trois. Alors on s’indigne, on accuse l’école, les réseaux sociaux, l’époque.
Mais ça tape à côté. Les langues sont vivantes, elles mutent, s’adaptent, empruntent. Vouloir figer la langue malgache dans le marbre, c’est oublier qu’elle-même s’est forgée dans les métissages. Au lieu de condamner l’évolution, peut-être faudrait-il l’accompagner avec lucidité. Éduquer sans mépriser. Valoriser sans enfermer. Et surtout, cesser de pleurer une langue qu’on refuse d’habiter pleinement.
Association Mamelomaso - Alahamadibe
L’Association Mamelomaso a célébré, du samedi 29 mars au lundi 31 mars dernier, l'Alahamadibe, le Nouvel An des Malagasy, à Ankazomalaza - Ambohimanga Rova
