En ville avec Raj
21 septembre 2012 - DowntownNo Comment   //   1466 Views   //   N°: 32

Directeur artistique de l’agence marketing et communication AMEA, mais également photographe, vidéaste, voire barman à ses heures perdues, Raj Hassanaly nous parle de ses bons plans à Tana comme ailleurs.

Ta table préférée ?
Je ne conseillerais pas vraiment un restaurant, mais je suis très amateur du vary amin’anana sy kitoza (riz aux brèdes et à la viande) à Anosibe, près des vendeurs de fleurs. Idéal après une bonne sortie, quand on vient du Kudeta par exemple. Ce sont les meilleurs de la ville. J’aime bien le Chantaco aussi.

Un club pour s’éclater ?
Le Mojo, j’aime la musique qu’on y passe, elle n’est pas trop orientée clubbing : on trouve du Prince, du Michael Jackson, des vieux sons des années 80-90, avec un petit peu de ce qui se fait aujourd’hui quand même.

Pour écluser un godet ?
Encore le Mojo, mais j’aime aussi beaucoup le T-Toon ! Pour les jeux de société bien sûr, mais surtout pour l’ambiance qui très cosmopolite, on y trouve des gens de toutes nationalités. C’est un lieu de libre expression, loin de ces endroits où l’on va pour jouer au m’as-tu-vu. Il propose beaucoup de petits événements, les scènes de slam notamment. Je viens aussi de découvrir le Tana Arts Café, très sympa.

Ton loisir le plus constant ?
La photo et la vidéo, je fais souvent des clips et des courts-métrages pour délirer mais également pour apprendre. Les jeux vidéo aussi, je suis un gros fan de Call of Duty.

Le coin de Tana où tu aimes t’évader ?
Je n’ai pas vraiment de lieu de prédilection, j’aime découvrir de nouveaux endroits, changer régulièrement d’ambiance. J’aime bien ce coin sur la route du mausolée, pas loin de l’hôtel Panorama. J’apprécie aussi l’avenue de l’Indépendance pour passer du temps entre amis.

L’événement qui t’a le plus marqué ces derniers temps ?
Le festival En vie urbaine, à Niort (France). J’étais photographe pour Nasty, un graffeur parisien. Pour commémorer le décès de Michael Jackson, une dizaine d’artistes ont transposé en graffitis une chanson ou le titre d’un de ses albums. J’aime tout ce qui tourne autour des graffitis : le hip-hop, le street art. Des gens comme Nasty ou encore Keith Haring avec ses dessins très minimalistes qui expriment les faits du quotidien.

Ton actualité ?
AMEA se lance sur les réseaux sociaux. On mise tout particulièrement sur le potentiel de Facebook en matière de buzz marketing. Ca va faire du bruit ! 

Recueillis par #JoroAndrianasolo 

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