Zouzar Valibhay se tape le questionnaire Pivot
Le peintre Zouzar Valibhay répond du tac au tac au cultissime questionnaire de Bernard Pivot. Dix questions pour aller au fond des choses…
Votre mot préféré ?
Inch’Allah, un mot qui m’aide à réaliser beaucoup de choses.
Le mot que vous détestez ?
Impossible car toute chose à une solution.
Votre drogue favorite ?
Le café, ça me rend actif toute la journée.
Le son, le bruit que vous aimez ?
Les instruments de musique qui me donnent de l’inspiration pour réaliser mes tableaux.
Le son, le bruit que vous détestez ?
Entendre les gouttes d’eau quand je dors.
Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
« Alika mamany », c’est moi qui ai inventé cette phrase.
Homme ou femme pour illustrer un nouveau billet de banque ?
Il faudrait illustrer un nouveau billet par un tireur de pousse-pousse pour faire comprendre aux gens combien c’est dur de chercher de l’argent.
Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ?
Comptable, je trouve ça stressant.
La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?
Un cheval !
Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous, après votre mort, l’entendre vous dire ?
« Avoir aidé les autres t’a offert le paradis aujourd’hui ! »
Propos recueillis par #AinaZoRaberanto
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édito
Show cacao !
Les meilleurs chocolatiers ne jurent que par lui. Il est un des plus réputés au monde. On parle bien sûr, du cacao de Madagascar, qui encore une fois, est labellisé « cacao fin 100% » en 2023 par l’International Cocoa Organization. Le cacao malgache est le seul à avoir obtenu ce label en Afrique. Un arôme unique, parfois acide, fruité et floral qui séduit le marché international. Mais maintenir cette réputation relève d’un effort considérable qu’il faut pérenniser comme le précise Sylvain Velomora (p.52), secrétaire exécutif du Conseil National du Cacao. Même si la filière se porte bien, elle est face à de nombreux défis notamment environnementaux, à l’amélioration de la production et l’augmentation des revenus des paysans. Des mesures sont mises en place pour répondre à ses problématiques sachant que le cacao fait vivre pas moins de 30 000 agriculteurs contribuant considérablement à l’économie du pays.
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Mag No Media 27 Fév
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