nocomment

Home // By night // Jane Rahel : Entre strass et paillettes

Jane Rahel : Entre strass et paillettes

14 juillet 2014 - By night No Comment // 3309 Views // N°: 54

Chanteuse, organisatrice de soirées, créatrice de bijoux fantaisie, Jane Rahel aime le monde des noctambules. Son expérience de la nuit parisienne ne l’empêche pas de goûter avec tout autant de gourmandise celle de Tana. Et à l’occasion de pousser la chansonnette, son autre passion !

Noctambule, c’est une vocation ?
J’ai toujours aimé le milieu de la nuit, on rencontre plein de gens. J’ai vécu 16 ans en France où j’ai également été dans l’événementiel, les soirées et la mode. J’ai travaillé avec certaines personnalités dans le monde du show-business, entre autres Jean Roch et les propriétaires du Zen Garden sur les Champs-Elysées. En revenant à Madagascar en 2008, j’ai continué. On m’appelle souvent pour organiser des soirées privées ou à thème, des défilés et bien sûr, je continue mes sorties nocturnes.

Une préférence pour les endroits branchés de Tana ?
Je suis souvent au restaurant Brajas, au B’, au Carnivore, au Colbert… J’aime particulièrement ces endroits où on peut discuter et tisser facilement des liens. C’est toujours utile pour mon travail.

Les cabarets ?
La chanson, c’est une passion. Je me produis avec un groupe de jeunes pour interpréter des morceaux de jazz, du blues et des variétés internationales. Des cabarets musicaux au Café de la Gare, au Buffet du Jardin ou au Liverpool Bar Club.

Jane Rahel : 032 42 637 17

Propos recueillis par Aina Zo Raberanto

A LIRE AUSSI

15 mai 2023. Djette Valiha : « La nuit offre beaucoup d’opportunités »
16 mars 2018. Mampiray Solofoniaina : « J’avance au feeling »
9 février 2018. Tojo Renah : « Manipulateur par plaisir »
18 janvier 2018. Lal Rajoharison : « Le concept, faire plaisir aux gens »

COMMENTAIRES

Identifiez-vous ou inscrivez-vous pour commenter.

[userpro template=login]

édito

Show cacao !

Les meilleurs chocolatiers ne jurent que par lui. Il est un des plus réputés au monde. On parle bien sûr, du cacao de Madagascar, qui encore une fois, est labellisé « cacao fin 100% » en 2023 par l’International Cocoa Organization. Le cacao malgache est le seul à avoir obtenu ce label en Afrique. Un arôme unique, parfois acide, fruité et floral qui séduit le marché international. Mais maintenir cette réputation relève d’un effort considérable qu’il faut pérenniser comme le précise Sylvain Velomora (p.52), secrétaire exécutif du Conseil National du Cacao. Même si la filière se porte bien, elle est face à de nombreux défis notamment environnementaux, à l’amélioration de la production et l’augmentation des revenus des paysans. Des mesures sont mises en place pour répondre à ses problématiques sachant que le cacao fait vivre pas moins de 30 000 agriculteurs contribuant considérablement à l’économie du pays.