C’est vous qui le dites

Coups de coeur, coups de gueule, envie d’envoyer un message à une personne qui vous est chère ou simplement de vous exprimer… cette rubrique vous est dédiée. Envoyez vos mails à courrier@nocomment.mg, nous les publierons.

Pour adultes ?

Merci pour ce numéro du mois d’août (no comment ® No 91), très bien ficelé, comme toujours. Avec cependant un bémol de taille… La nouvelle de ce mois Le fruit défendu n’est pas à mettre entre toutes les mains. Les descriptions sont à la limite de la pornographie… no comment® deviendrait il un magazine pour adultes avertis? Fidèle lectrice, je recommande régulièrement votre magazine à tous ceux qui ont soif de lecture, mais ce numéro-là me pose un sérieux problème. Merci de bien vérifier vos publications, chez bien des lecteurs, no comment se lit en famille…

Cathia Ramaro

Madame,
Merci pour vous courrier. Il n’apparaît pas à la rédaction de
no comment® magasine que le texte mentionné soit de facture « pornographique », loin de là ! Il nous semble que tout un chacun peut s’émerveiller de la beauté d’un corps et nous en voulons pour preuve les multiples exemples de la statuaire grecque (ou autres) exposés dans la majorité des plus grands musées du monde, qui restent accessibles aux mineurs. Notre magazine n’est pas une publication pour « adultes avertis » et nous nous engageons chaque mois à mettre en avant toutes formes de beauté… Sachez enfin que notre directeur de la publication, comme la loi le lui oblige, vérifie dans le détail l’ensemble des contenus publiés dans no comment® magazine.

Duo de choc

Adepte de musique classique, j’étais, pendant une période, fidèle aux Concerts de midi organisés par Madagascar Mozarteum. Mes coups de cœur sont le Piano à quatre mains du duo Valérie Raveloson – Alice Rosset, Bouquet de voix avec cinq solistes et le récital de ténor de Fitah Rasendrahasina. Dans la rubrique Opus 106 du no comment ® No 91 (août 2017), on parle de Rindra Rajeriarison et Hajatiana Rakotozafy, deux solistes qui se font connaître de plus en plus. La toute première fois que je les ai vus sur scène était pendant l’interprétation de La Veuve joyeuse de Franz Lehár mais je n’y ai pas vraiment porté attention. Cependant, lors du concert de midi intitulé Bouquet de voix, novembre 2016 si je ne me trompe pas, je les ai entendus chanter en solo et j’étais vraiment éblouie de leurs talents.

J’ai également eu lors de concerts de l’ensemble vocal Hiraitra l’occasion d’émerveiller mes oreilles de leurs voix envoûtantes. Ils ont interprété à merveille plusieurs morceaux que j’aime beaucoup. Ce que je regrette beaucoup est de ne pas avoir pu être présente à leur concert Quand l’amour triomphe mais en tout cas, je sais qu’ils ont vraiment assuré. Bref, ces deux voix promettent beaucoup quant à l’avenir du classique et je leur souhaite un franc succès dans la promotion de cette musique que le monde moderne a du mal à apprécier. Vive la musique classique !

Candy R.

L’effort

« Qui n’essaie ne perd jamais » disait Harivansh Ray Bacchan, un écrivain indien. Et par ce poème, je m’en inspire pour vous parlez de l’effort.
Je trouve que l’effort est comme un jardin que nous cultivons, et dont nous attendons le fruit. Or, comme dans la vie réelle, soit vous aurez un fruit, soit un résultat peu satisfaisant, soit rien. Pourquoi ? Car le résultat final dépend toujours de la force de volonté et de l’intensité de l’effort que nous avons fourni. Il n’est pas nécessaire qu’en fournissant beaucoup d’effort, vous obteniez la réussite, non ! C’est plutôt l’intensité, autrement dit ne rien laisser de travers, et surtout le fait de ne pas baisser les bras qui augmentera vos chances de réussite.
Si vous échouez, il n’y a que deux explications certaines : soit il y a eu sûrement quelque chose qui a manqué a vos efforts, soit la destinée a pensé un meilleur autre chemin pour vous.
Ainsi, ne baissons jamais les bras, et continuons de vive âme et de tout cœur à donner le meilleur de nous !

Akshay S. Manjee

Bonjour je vous transmets un poème, parallèle masculin de celui de mademoiselle Yanne Lomelle Talivas paru dans votre édition du mois de juillet (no comment ® No 91). En espérant que vous pourrez le diffuser dans la rubrique C’est vous qui le dites du prochain magazine et en vous remerciant par avance.

Dénaturation

Je ne sais plus ce que ce que je cherche
en me livrant à ma détresse.
Butiner sans cesse
est devenu une routine, cherchant avec mes mains ces corps de déesses.
Je suis ivre de feu
et je me perds dans leur souffrance
de trouver celui qui viendra les prendre pour maîtresse
jusqu’au bout de la vie

Je ne suis pas encore de ceux là !
Je teste encore ma virilité dans des coups de reins tristes
en ayant vendu mon âme au diable.
Saoul et inconscient,
j’assiste à mon déclin en salissant ces êtres de beauté
pour lesquelles j’ai perdu le respect
Elles m’ont tout donné !
leur lait, leurs seins et leur beauté sans y penser

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